Selon les caisses Desjardins, faire son lunch, c'est économiser 35% dans ses dépenses alimentaires au bout du compte. Une belle marge de manoeuvre qu'on peut dépenser ailleurs, ou tout simplement s'offrir plus souvent des sorties exploratrices dans les restos.
Faire son lunch, c'est aussi affirmer son autonomie culinaire. C'est apprendre de nouvelles recettes, faire ses propres recherches et développements, devenir meilleur et inspirer, sans parfois s'en rendre compte, autour de soi.
Il y a quelques années, je n'aurais pas pu en dire autant. J'étais nul. Vraiment nul. Plus nul que ça, ouais ! Un adepte des produits congelés, des mets préparés, des conserves et de la junk food.
Le seul chef que je connaissais, c'était un dénommé Boyardee...
Heureusement, toutes ces femmes de ma vie - ainsi que quelques hommes par la suite - m'ont influencé. Je me suis émancipé !
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Le 24 septembre prochain, c'est la journée nationale Moi, je fais mon lunch !
Ce n'est pas banal. C'est une initiative de la Tablée des Chefs, présentée par Desjardins et parrainée par nul autre que Ricardooooooo - je multiplie les «o» pour faire plaisir au Dre Tofu !
Les objectifs de la campagne de sensibilisation sont de valoriser le temps consacré en cuisine - et tout le plaisir qui peut l'accompagner - ainsi que de développer l'autonomie alimentaire.
Il y a quelques façons d'y participer. Vous pouvez vous inscrire entre collègues de travail - vous avez encore deux jours pour le faire - ou tout simplement acheter, pour la modique somme de trois dollars, le sac à lunch, disponible chez les partenaires.
Vous pouvez accèder sur le site de l'événement en cliquant sur le lien plus haut.
Les profits amassés iront à la formation culinaire des jeunes défavorisés. Présentement, c'est 1000 jeunes au Québec qui bénéficient de ce programme de la Tablée des Chefs.
Mais qu'est-ce que la Tablée des Chefs ?
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C'était la rentrée automnale de Monsieur Jambon.
Merci d'être au rendez-vous !