Les chantres des bonnes mœurs pouvaient au moins se réjouir pendant une crise économique alors qu’une première étude – au début de l’année – disait que plus les gens étaient fauchés, moins ils participaient à des beuveries folkloriques.
Une simple p’tite visite à Limoilou aurait pu les faire déchanter, mais quoi de mieux qu’une étude contradictoire.
En effet, selon « Health Economics », plus les gens ont des soucis financiers, plus ils sont bourrés. L’étude établit même un lien entre la détérioration de l’économie et l’abus d’alcool et autres produits du diable. Comme quoi il n’y a pas que les requins de la finance qui lèvent leurs verres par les temps qui courent – très vite, mais en titubant en fin de course.
(Source : Globe and Mail, 17 octobre 2011)
N.B. Je me décerne un deux minutes pour « hors-sujet ». Et puisqu’en parler donne toujours le goût, vous pouvez m’ajouter un cinq minutes pour inconduite…minimum.
BREF, c'est samedi !