Notre corps est une merveille.
En chacun de nous, il y a un univers. Le BigBang fut notre conception. Ensuite, c'est le délire dans un système codé, mais absolument influençable.
Fallait bien s'en douter. Tout ce qui attise nos sens a un impact sur notre univers.
Manger, comme lire, écouter et penser, seraient synonymes de changements.
Plus qu'on puisse l'imaginer...Toujours plus ! Sans les mains !
Explications...
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Dans son numéro de mars 2012, Science et Vie nous offre un article sur l'impact insoupçonné de ce que l'on ingurgite par rapport à ce que nous sommes - comme individu, comme groupe, ou comme membre d'une telle population humaine.
Notre barrière intestinale laisserait passer des éléments sans les digérer ou, à proprement dit, sans les évacuer.
Et ces dits éléments ne seraient pas les moindres : ils agiraient sur nos gènes. Des constituants génétiques de nos aliments modifieraient notre système. En plus d'incorporer des nutriments, c'est un peu comme si des informateurs venus d'ailleurs nous infiltraient.
C'est un ensemble ultra-sophistiqué qui fait notre tout. C'est un microcosme au sein d'un macrocosme - et la nature - allumeuse - de se garder une petite gêne en se dévoilant un morceau l'autre.
Notre machinerie cellulaire, à la fine pointe et plus encore, n'est pas de cette stabilité que l'on souhaiterait au quotidien - si ça pouvait nous enlever le fardeau de penser.
Non ! Elle est là qui se transforme, qui s'imprègne de ce qu'on lui offre comme carburants.
Et on marche, et on roule. Et nos sources d'alimentation défient l'expression de nos gènes.
Provoquent-ils des maladies ? Ou nous offrent-ils de nouveaux moyens pour mieux nous soigner ?
Cet élément fait grandir, mais c'est plus dans nos têtes que dans nos gènes. |
C'est un ensemble ultra-sophistiqué qui fait notre tout. C'est un microcosme au sein d'un macrocosme - et la nature - allumeuse - de se garder une petite gêne en se dévoilant un morceau l'autre.
Notre machinerie cellulaire, à la fine pointe et plus encore, n'est pas de cette stabilité que l'on souhaiterait au quotidien - si ça pouvait nous enlever le fardeau de penser.
Non ! Elle est là qui se transforme, qui s'imprègne de ce qu'on lui offre comme carburants.
Et on marche, et on roule. Et nos sources d'alimentation défient l'expression de nos gènes.
Provoquent-ils des maladies ? Ou nous offrent-ils de nouveaux moyens pour mieux nous soigner ?
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Tout peut porter à croire que c'est un et l'autre.
Quelques constats :
- Notre régime alimentaire influence notre métabolisme.
- Les traditions alimentaires millénaires ont pu former les spécificités des différentes populations humaines.
- Il est donc possible que l'introduction d'un nouvel aliment ait des conséquences sur une population.
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L'article « Leurs gènes modifient les nôtres » dans Science et Vie est fascinant. Il ne semble pas disponible en ligne, l'est-il encore en kiosque ?
Sinon, c'est une fichue bonne raison pour aller faire un tour à votre bibliothèque !
À demain !
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À demain !