mercredi 22 février 2012
« Nous ne pouvons nous permettre de perdre un seul dollar »
C’est comme ça que se termine un mémo consulté par The Washington Post en 1975. Le mémo provient de la multinationale Monsanto, le géant de l’herbicide, le roi de la semence et le sauveur par le biais des hormones de croissance – Monsanto joue sur plusieurs tableaux, c’est fascinant.
Dans le contexte, le mémo concernait une étude faite par Monsanto, qui révélait que l’un de leurs produits, le PCB (polychlorobiphényle), provoquait des tumeurs chez le rat. Cette conclusion peu satisfaisante pour l’entreprise fut donc changée, pour la raison citée en guise de titre.
L’article qui m’a intrigué, publié dans Le Monde d’abord et dans Le Devoir ensuite, est assez troublant et nous offre un « joli » portrait de Monsanto.
Bien sûr, je vous donne le lien, juste ici.
Bonne lecture !