mercredi 2 novembre 2011

Des oeufs...pour faire changement !


Il suffit parfois de s’intéresser un peu à un sujet et l’information à propos de celui-ci nous court pratiquement après. Je suis tombé sur ce papier de Violaine Ballivy, dans La Presse. En résumé, voici quelques lignes sur les œufs de différentes volailles disponibles au Québec.

La poule : 90 millions de douzaines d’œufs consommées par année au Québec. Les ventes des biologiques représentent 1% du marché ; les œufs avec oméga-3, 7%. Un œuf blanc régulier vaut environ vingt sous.

L’oie : Trois plus gros que l’œuf de la poule, il est plus gras – de par son jaune plus crémeux. Par contre, il est plus riche en fer, en protéines et en vitamines B12. Si vous aimez les crêpes, paraît-il qu’au printemps, avec le sirop d’érable, c’est tout un combo. Et si comme moi la salive vous monte déjà à la bouche, c’est entre deux et trois dollars pour un œuf.

La caille : Comme c’est bon, ces petites choses ! Comme il serait facile d’en abuser : dans des entrées, des salades ou des petites bouchées. Proportionnellement, cet œuf contient plus de cholestérol, de protéines, de fer et de vitamines B2 et E que celui de la poule. Une seule modération : c’est quatre dollars pour quinze.

La dinde : Ça me renverse ! Ce volatile n’est pas qu’un centre de table, il pond aussi des œufs ! Savourez-les à la coque, tout simplement, car on dit qu’ils sont les meilleurs. Un œuf égale 1,50 $.

Le canard : Ce sont les œufs les plus riches, après ceux des oies. Sur mesure pour les pâtisseries. Gâtez-vous ! Six pour 4,25 $ !

Le Yoshi : Il mange dix pommes et vous pond une Vie – n’est-ce pas vendeur ? Mais ne vous laissez pas avoir. L’œuf est souvent fertilisé et Yoshi est un mec. Ouf ! Ne m’expliquez pas, je ne veux pas vraiment savoir…