Il
suffit parfois de s’intéresser un peu à un sujet et l’information à propos de
celui-ci nous court pratiquement après. Je suis tombé sur ce papier de Violaine
Ballivy, dans La Presse.
En résumé, voici quelques lignes sur les œufs de différentes volailles
disponibles au Québec.
La
poule : 90
millions de douzaines d’œufs consommées par année au Québec. Les ventes des
biologiques représentent 1% du marché ; les œufs avec oméga-3, 7%. Un œuf blanc
régulier vaut environ vingt sous.
L’oie : Trois plus gros que
l’œuf de la poule, il est plus gras – de par son jaune plus crémeux. Par
contre, il est plus riche en fer, en protéines et en vitamines B12. Si vous
aimez les crêpes, paraît-il qu’au printemps, avec le sirop d’érable, c’est tout
un combo. Et si comme moi la salive vous monte déjà à la bouche, c’est entre
deux et trois dollars pour un œuf.
La
caille : Comme
c’est bon, ces petites choses ! Comme il serait facile d’en abuser : dans
des entrées, des salades ou des petites bouchées. Proportionnellement, cet œuf
contient plus de cholestérol, de protéines, de fer et de vitamines B2 et E que
celui de la poule. Une seule modération : c’est quatre dollars pour
quinze.
La
dinde : Ça
me renverse ! Ce volatile n’est pas qu’un centre de table, il pond aussi des
œufs ! Savourez-les à la coque, tout simplement, car on dit qu’ils sont les
meilleurs. Un œuf égale 1,50 $.
Le
canard : Ce
sont les œufs les plus riches, après ceux des oies. Sur mesure pour les
pâtisseries. Gâtez-vous ! Six pour 4,25 $ !
Le
Yoshi : Il
mange dix pommes et vous pond une Vie – n’est-ce pas vendeur ? Mais ne vous
laissez pas avoir. L’œuf est souvent fertilisé et Yoshi est un mec. Ouf ! Ne
m’expliquez pas, je ne veux pas vraiment savoir…